Le site ezforecaster.com https://www.ezforecaster.com Tue, 01 Jul 2025 17:18:47 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.8.1 https://www.ezforecaster.com/wp-content/uploads/2025/05/cropped-icon-32x32.png Le site ezforecaster.com https://www.ezforecaster.com 32 32 Que faire quand votre carte graphique n’est plus détectée ? https://www.ezforecaster.com/que-faire-quand-votre-carte-graphique-nest-plus-detectee/ https://www.ezforecaster.com/que-faire-quand-votre-carte-graphique-nest-plus-detectee/#respond Tue, 01 Jul 2025 16:22:56 +0000 https://www.ezforecaster.com/que-faire-quand-votre-carte-graphique-nest-plus-detectee/ Bon… On va pas se mentir : quand ta carte graphique disparaît du jour au lendemain, c’est un vrai moment de solitude. T’allumes le PC, t’attends ce petit “clic” rassurant du ventilateur, et là… écran noir, ou pire, résolution toute flinguée comme en 2005. C’est quoi le délire ? Ta CG a décidé de prendre des vacances ?

Respire un coup. On va démêler ça ensemble. Et promis, pas besoin d’être ingénieur chez Nvidia pour s’en sortir.

1. Vérifie les branchements. Oui, sérieusement.

Ça peut paraître con, mais parfois, le problème est juste… mécanique. Genre le câble d’alim PCI-E mal enfiché, ou la carte qui a un peu bougé après un transport ou un gros coup d’aspirateur dans le boîtier. (Oui, ça arrive plus souvent qu’on le croit.)

Tu peux aussi checker les connecteurs vidéo : t’es bien branché sur la CG et pas sur la sortie de la carte mère ? Ça, c’est le piège classique quand on passe d’une config sans GPU à une avec. Et honnêtement, quand t’as passé trois heures à chercher une panne “invisible” pour te rendre compte que t’étais branché sur la mauvaise prise… tu t’en souviens longtemps.

Si tu veux une bonne fiche bien illustrée pour vérifier ton matos pas à pas, je trouve que ce guide sur https://f-informatic.com est super clair, même pour ceux qui n’ont pas l’habitude de bidouiller.

2. Teste ta carte graphique sur un autre PC

C’est LE test de vérité. Si t’as un pote (ou un vieux PC de secours) qui peut accueillir ta carte, fonce. Tu la branches, tu démarres. Si elle est détectée là-bas, c’est que ton problème vient d’autre chose : carte mère, alimentation, ou un conflit logiciel.

Mais si elle est pas détectée non plus ? Aïe. Là, ça commence à sentir le sapin…

3. Check les pilotes et le BIOS

Parfois, tout est bien branché, tout semble OK côté matériel, mais Windows (ou Linux) fait la sourde oreille. Tu ouvres le gestionnaire de périphériques, et… rien. Nada. Même pas un petit « périphérique inconnu ».

Tu peux tenter une mise à jour manuelle des pilotes (en passant par le site officiel du constructeur, hein, pas un site louche du style “driver-telecharger-gratos.biz”).

Perso, j’ai déjà eu le cas sur une vieille GTX 970 : après une maj foireuse de Windows, plus rien. Le pilote s’était désinstallé tout seul. Une réinstallation propre (avec DDU pour nettoyer les anciens pilotes) a tout réglé.

Ah et tant que t’y es : une mise à jour du BIOS ou un “clear CMOS” peut parfois faire revenir les choses dans l’ordre. C’est pas magique, mais j’ai vu des cartes qui revenaient à la vie comme ça.

4. Et si c’était l’alimentation ?

On y pense pas tout de suite, mais une alim faiblarde, ça peut foutre le bazar. Si elle envoie pas assez de jus, surtout sur les rails 12V, la carte graphique peut simplement refuser de démarrer. Elle fait la morte, aucun signal vidéo, rien.

Tu peux utiliser un wattmètre, ou mieux, tester avec une autre alim (même temporairement). C’est chiant, mais ça élimine une grosse inconnue.

5. La carte est peut-être HS… et alors ?

Franchement, c’est dur à entendre, mais parfois, le matos meurt. Et souvent sans prévenir. Surtension, usure, problème de VRAM… ça peut péter n’importe quand, même sur une carte de marque.

Mais avant de l’enterrer, tente un dernier test dans un autre slot PCIe. On sait jamais. J’ai vu une RTX 3060 « morte » ressusciter en passant du port x16 principal à un port secondaire. Incroyable, mais vrai.

Conclusion : pas de panique, mais faut enquêter

Une carte graphique qui n’est plus détectée, c’est flippant. Mais c’est pas toujours la fin du monde. Avec un peu de méthode, de patience, et quelques outils, tu peux isoler le problème.

Et si vraiment c’est la fin pour ta CG… eh ben c’est peut-être l’occasion de passer à une nouvelle config. (Ou de craquer pour cette 4070 Ti qui te fait de l’œil depuis des mois ? 😏)

Tu galères toujours ? Raconte-moi dans les commentaires, ou envoie-moi ta config. On peut débuguer ensemble. Parce que franchement, y’a rien de plus frustrant qu’un PC qui démarre pas comme il faut.

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Comment gagner de l’argent en ligne sans tomber dans les arnaques : les vraies méthodes qui marchent https://www.ezforecaster.com/comment-gagner-de-largent-en-ligne-sans-tomber-dans-les-arnaques-les-vraies-methodes-qui-marchent/ https://www.ezforecaster.com/comment-gagner-de-largent-en-ligne-sans-tomber-dans-les-arnaques-les-vraies-methodes-qui-marchent/#respond Fri, 20 Jun 2025 15:52:59 +0000 https://www.ezforecaster.com/comment-gagner-de-largent-en-ligne-sans-tomber-dans-les-arnaques-les-vraies-methodes-qui-marchent/ Tu tapes « gagner de l’argent sur Internet » sur Google et bam, t’as une avalanche de promesses un peu trop belles. « 1000€ par jour sans rien faire », « deviens riche depuis ton canapé », et mon préféré : « ce site va changer ta vie (mais faut payer avant de savoir comment) ». Bref, c’est souvent du flan.

Mais dans ce bazar, y’a du vrai aussi. Des vraies méthodes, testées, qui rapportent vraiment. Pas forcément des millions, soyons clairs, mais assez pour arrondir ses fins de mois, voire plus si tu t’y mets sérieusement.

Franchement, j’ai mis du temps à faire le tri. Et si tu veux creuser, je te conseille d’aller jeter un œil ici : https://1travailsurinternet.com C’est pas un miracle, mais c’est une bonne base pour comprendre les options sérieuses et éviter les pièges.

1. Le freelancing : vendre tes compétences (pas tes rêves)

T’écris bien ? Tu codes un peu ? Tu touches au design ? Bingo. Des plateformes comme Malt, ComeUp, Upwork ou 5euros te permettent de proposer tes services. Rien de magique : tu bosses, t’es payé.

Le truc, c’est d’avoir un profil propre, de répondre vite, et de livrer du bon taf. Perso, j’ai décroché ma première mission en rédaction web avec un texte de test sur… les claviers mécaniques. J’étais pas expert, mais j’ai été carré. Résultat : 80€ pour 800 mots. Pas fou, mais motivant.

2. L’affiliation : recommander des produits que tu connais (vraiment)

Tu parles souvent tech à tes potes ? Tu partages des bons plans ? Alors pourquoi pas monétiser ça ? L’affiliation, c’est simple : tu recommandes un produit via un lien, et tu touches une commission si quelqu’un achète.

Mais attention : les gens ne sont pas bêtes. Si tu balances un lien vers un outil que t’as jamais testé, ça se voit. Le mieux ? Créer du contenu utile autour. Genre un comparatif de VPN, un test d’un micro USB, une vidéo YouTube sincère.

3. Les micro-tâches : peu glamour, mais ça paye (un peu)

Faut pas s’attendre à un salaire de cadre, mais si t’as 30 minutes ici ou là, tu peux faire des micro-missions : répondre à des sondages, vérifier des infos, annoter des images. Des sites comme Appen, Clickworker ou Swagbucks proposent ça.

C’est répétitif, oui. Mais c’est aussi sans engagement, sans risque. Et pour certains profils, ça peut dépanner en fin de mois.

4. Le contenu monétisé : blog, newsletter, chaîne YouTube… mais bien fait

C’est là que beaucoup rêvent de jackpot. Et honnêtement, ça peut arriver. Mais pas sans taf. Si tu lances un blog, une chaîne ou une newsletter, faut penser audience avant argent. Ce qui marche ? Créer du contenu sur une niche que tu connais vraiment, et où tu peux apporter quelque chose.

J’ai un pote qui s’est fait une petite rente avec une newsletter sur les outils d’automatisation. 3000 abonnés, 12% de taux de clic, 500€/mois en affiliation. Pas du bluff, juste du contenu régulier, bien ciblé.

5. Les formations et ebooks : capitaliser sur ce que tu sais

Tu maîtrises un outil, un langage, une méthode ? Tu peux le transformer en formation. Oui, même si t’es pas “expert certifié”. Tant que c’est clair, structuré, utile, ça peut plaire.

Et avec des plateformes comme Gumroad, Teachable ou Ko-fi, t’as pas besoin de te prendre la tête avec le côté technique. Juste produire quelque chose de vraiment utile. Un PDF bien fait peut se vendre à 19€, 29€, voire plus. Encore faut-il qu’il résolve un vrai problème.

Les arnaques à éviter : parce qu’on n’a pas que ça à faire

• Les “formations miracle” à 997€ avec un compte à rebours bidon
• Les MLM déguisés (“achète un pack pour commencer à vendre à tes potes”)
• Les promesses de revenus passifs sans aucune compétence ou action
• Les jobs flous avec “gains garantis” mais zéro explication

Si tu dois payer pour avoir le droit de bosser, fuis. Si le site ne dit jamais exactement ce que tu vas faire, fuis. Si ça parle “d’indépendance financière en 30 jours”, fuis très vite.

En résumé ?

Tu peux vraiment gagner de l’argent en ligne. Oui, toi, maintenant. Mais pas en claquant des doigts. Il faut tester, apprendre, parfois se planter. Et surtout, viser des méthodes où le bon sens prime.

T’as une compétence ? Monétise-la. T’as du temps libre ? Utilise-le intelligemment. T’as une vraie passion ? Partage-la avec méthode.

Et toi, t’as déjà essayé une de ces méthodes ? T’en connais d’autres qui fonctionnent ?

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Comment évaluer la durée de vie restante d’un PC d’occasion avant l’achat https://www.ezforecaster.com/comment-evaluer-la-duree-de-vie-restante-dun-pc-doccasion-avant-lachat/ https://www.ezforecaster.com/comment-evaluer-la-duree-de-vie-restante-dun-pc-doccasion-avant-lachat/#respond Tue, 17 Jun 2025 08:11:26 +0000 https://www.ezforecaster.com/comment-evaluer-la-duree-de-vie-restante-dun-pc-doccasion-avant-lachat/ Tu es là, devant cette super offre de PC d’occasion. Les specs sont alléchantes, le prix est canon, le vendeur sympa. Mais au fond, une petite voix te chuchote : « Et s’il me lâchait dans six mois ? ». Franchement, c’est LE point crucial quand on veut acheter un ordi d’occasion : combien de temps il va encore tenir la route ?

Je te le dis tout de suite : il n’y a pas de boule de cristal. Mais il y a des trucs très concrets à vérifier pour se faire une idée assez fiable. Et si tu veux jeter un œil à d’autres offres intéressantes pendant qu’on en parle, tu peux aller fouiller du côté de https://www.ventes-informatique.fr. Pas mal de bons plans y passent, ça peut valoir le détour.

Regarde d’abord l’âge de la machine

Premier réflexe : l’âge. Un PC de 2-3 ans, c’est encore jeune, surtout s’il a été bien traité. Par contre, au-delà de 5 ans, faut commencer à se poser des questions. Les composants internes, comme le disque dur mécanique (si c’en est un), peuvent commencer à fatiguer. Et puis côté support logiciel, les mises à jour de Windows ou des drivers risquent de devenir plus rares.

Perso, quand je tombe sur un PC d’occase de plus de 7 ans, je suis direct beaucoup plus méfiant. Même si sur le papier il tourne encore bien, l’obsolescence logicielle guette au tournant. Et certaines pièces (genre la batterie sur un portable) peuvent être rincées.

L’état physique : un miroir de son passé

On ne va pas se mentir : un PC, ça vit. Et son état physique raconte souvent son histoire. Des rayures profondes, des charnières qui grincent, des touches manquantes ? Ça sent le PC trimballé à droite à gauche sans ménagement. Au contraire, une coque propre, un écran sans pixel mort, un clavier propre, ça inspire confiance.

Petit conseil maison : touche le chargeur. S’il est tout abîmé, rafistolé au scotch, ou s’il chauffe beaucoup dès qu’il est branché, c’est rarement bon signe.

Les composants clés à surveiller

Là, on rentre dans le dur. Les trois éléments qui impactent vraiment la durée de vie restante :

  • Le disque dur : un SSD a une durée de vie limitée en cycles d’écriture, mais généralement il tient bien plusieurs années. Par contre, un vieux HDD mécanique, surtout s’il gratte ou fait du bruit, c’est à éviter comme la peste. Si possible, demande un diagnostic SMART du disque.
  • La batterie : sur un portable, c’est LE point noir classique. Une batterie d’origine de 5 ans, même si elle marche encore, a souvent perdu 30 à 50% de sa capacité. Regarde le nombre de cycles de charge (certains logiciels comme BatteryInfoView ou HWMonitor peuvent te le donner).
  • Le système de refroidissement : si le PC chauffe beaucoup ou fait un bruit de soufflerie, ça peut indiquer une pâte thermique sèche ou des ventilateurs encrassés. Et ça, sur le long terme, ça flingue les autres composants.

Fais un vrai test avant de l’acheter

Si tu peux, demande à le tester pendant 30 minutes minimum. Lance plusieurs applis, ouvre plein d’onglets, joue une vidéo en HD. Si ça rame, chauffe ou plante, ça pue un peu. Et surtout, écoute-le tourner. Un disque qui gratte, un ventilateur qui s’emballe, ça doit te mettre la puce à l’oreille.

Petit truc : démarre-le à froid. Un PC qui a du mal à booter à froid peut cacher des soucis de carte mère ou d’alim.

Le support logiciel : souvent oublié, mais crucial

Un PC qui ne peut plus recevoir les dernières mises à jour de Windows ou des pilotes, c’est un futur cauchemar. Vérifie la version actuelle de l’OS et regarde si la machine est encore éligible aux prochaines mises à jour majeures. Avec la sortie de Windows 11, beaucoup de vieux CPU sont déjà sur la touche.

Un dernier conseil très perso

Honnêtement, j’aime bien prévoir un petit budget “rafraîchissement” quand j’achète de l’occasion. Changer le SSD, remplacer la batterie, rajouter un peu de RAM… souvent ça redonne un vrai coup de jeune pour pas très cher. Et au moins, tu pars sur une base saine.

Alors oui, c’est un peu plus de boulot que de foncer tête baissée sur l’annonce la plus sexy. Mais franchement, vu le prix des machines neuves, ça vaut carrément le coup de prendre son temps et de bien vérifier tout ça avant d’acheter.

Et toi, tu regardes quoi en priorité quand tu achètes un PC d’occasion ?

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Comment bien choisir sa solution d’hébergement web professionnel sans se faire avoir https://www.ezforecaster.com/comment-bien-choisir-sa-solution-dhebergement-web-professionnel-sans-se-faire-avoir/ https://www.ezforecaster.com/comment-bien-choisir-sa-solution-dhebergement-web-professionnel-sans-se-faire-avoir/#respond Tue, 17 Jun 2025 06:36:56 +0000 https://www.ezforecaster.com/comment-bien-choisir-sa-solution-dhebergement-web-professionnel-sans-se-faire-avoir/ Bon, soyons honnêtes : quand on cherche un hébergement web pro, on se retrouve vite paumé. Les offres pleuvent de partout, ça promet du 99,99% de disponibilité, des serveurs « ultra-rapides », un support « 24/7 avec le sourire »… Bref, ça vend du rêve. Mais la réalité, c’est que derrière le marketing, y’a des sacrées différences. Et si tu choisis mal, ton site peut vite tourner au cauchemar technique. Allez, on décortique ça ensemble.

Avant tout : c’est quoi ton vrai besoin ?

Parce que oui, tout commence là. Tu veux héberger quoi exactement ? Un petit site vitrine pour ton resto à Lyon ? Un gros e-commerce qui va gérer des milliers de commandes par jour ? Ou ton blog perso où tu racontes tes road-trips en Islande ?

Perso, je me suis fait avoir une fois. J’avais pris un plan « illimité » pour un projet client… sauf qu’à la première montée de trafic, le serveur ramait comme jamais. Pourquoi ? Parce que l’illimité, c’était surtout de la bande passante, pas des ressources CPU/RAM. Depuis, je me méfie des promesses trop belles.

Et franchement, avant de signer, va jeter un œil à des ressources comme https://solutionbusinessinternet.com. Ils décryptent pas mal d’offres pro et donnent un avis plus terrain que la com des hébergeurs eux-mêmes. Ça aide à voir clair.

Les points clés à vérifier avant de sortir la carte bleue

Allez, on rentre dans le concret. Voilà ce que tu dois vraiment checker :

1. Les performances réelles

Parle-moi de chiffres concrets : temps de chargement moyen, type de stockage (SSD obligatoire aujourd’hui, hein), localisation des serveurs (proche de ton public cible, sinon bonjour les latences). Un site qui met 3 secondes à charger, c’est 50% de visiteurs qui se barrent. Et Google adore les sites rapides. Double peine sinon.

2. La vraie capacité des ressources

Regarde bien combien de CPU et de RAM tu as sur le plan. Les hébergeurs mutualisés te vendent parfois du rêve avec des « ressources partagées »… qui saturent dès qu’un voisin de serveur fait péter son trafic.

Si ton projet est sérieux : vise au moins du VPS ou du cloud scalable. Oui, ça coûte plus cher, mais ton business vaut ça, non ?

3. Le support technique

Perso, c’est LE point sur lequel je me montre intraitable. Quand ton site tombe un samedi à 23h, tu veux parler à un humain, pas attendre le mail du lundi matin. Teste-les avant de signer : appelle, ouvre un ticket, vois leur réactivité.

4. Les options de sécurité

Certificat SSL inclus (et pas un vieux Let’s Encrypt mal géré), firewall applicatif, sauvegardes quotidiennes automatiques (avec restauration facile, pas un fichier SQL à bricoler toi-même). Et bien sûr, des protections DDoS dignes de ce nom.

5. Les conditions de sortie

Personne n’y pense au début, mais un jour tu voudras peut-être migrer ailleurs. Vérifie qu’ils te laissent exporter facilement tes données, sans frais cachés ni galères techniques. Les hébergeurs qui t’enferment dans leur système, c’est non.

Les arnaques courantes à éviter

Allez, je te balance quelques classiques :

  • Les tarifs planchers qui doublent après 12 mois.
  • Les options indispensables (SSL, sauvegardes, emails pro) en supplément payant.
  • Les promesses de « bande passante illimitée » (qui cachent souvent du throttling sévère).
  • Les « garanties de disponibilité » sans vraies pénalités contractuelles.

Si tu vois ça, red flag direct. Cherche ailleurs.

Quelques hébergeurs pro qui tiennent la route (selon mon vécu)

Évidemment, ça dépend de tes besoins, mais voilà quelques valeurs sûres que j’ai croisées :

  • OVHcloud : pas parfait, mais très bon rapport qualité/prix pour les VPS et les serveurs dédiés en France.
  • Infomaniak : support client aux petits oignons, infra sérieuse, très transparent sur les ressources.
  • PlanetHoster : bon compromis pour des projets pro sans casser la tirelire.
  • Scaleway : pour du cloud scalable à la française.

Après, teste toujours par toi-même. Un hébergeur peut très bien convenir à un projet mais pas à un autre.

En résumé : sois méfiant, pose beaucoup de questions

Choisir son hébergement pro, c’est pas comme choisir un forfait mobile. Prends le temps de fouiller, de poser des questions (même reloues), de tester le support. Et méfie-toi du blabla marketing. Ce qui compte au final, c’est : la vitesse, la stabilité, la sécurité et la qualité du support.

Et si t’as un doute, viens en parler avec d’autres pros ou sur des forums spécialisés. Crois-moi, ça t’évitera pas mal de galères après coup.

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Installer un VPN sur son routeur : le tuto simple pour sécuriser tout son réseau https://www.ezforecaster.com/installer-un-vpn-sur-son-routeur-le-tuto-simple-pour-securiser-tout-son-reseau/ https://www.ezforecaster.com/installer-un-vpn-sur-son-routeur-le-tuto-simple-pour-securiser-tout-son-reseau/#respond Fri, 23 May 2025 11:41:51 +0000 https://www.ezforecaster.com/installer-un-vpn-sur-son-routeur-le-tuto-simple-pour-securiser-tout-son-reseau/ Pourquoi installer un VPN directement sur son routeur ?

Franchement, si t’en as marre de devoir lancer ton appli VPN à chaque fois que tu ouvres ton ordi (ou pire, ton frigo connecté…), cette solution va te plaire. En installant un VPN directement sur ton routeur, tu protèges *tout* ton réseau d’un coup. Plus besoin d’y penser. Et ça, c’est cool.

Chaque appareil qui passe par ta box – PC, smartphone, tablette, TV, imprimante (oui, même elle) – sera automatiquement connecté via le VPN. Pas besoin de configurer chaque machine une à une. Ça te simplifie la vie, surtout si t’as une famille nombreuse ou un petit réseau domestique qui commence à ressembler à celui d’une PME.

Est-ce que c’est compliqué à faire ?

Honnêtement ? Un peu. Mais rien d’insurmontable. Faut juste prendre 30 minutes, un bon café (ou deux), et suivre les étapes tranquillement. Par contre, faut que ton routeur soit compatible. Et là, c’est pas garanti.

*Si t’as une box fournie par ton opérateur (genre Freebox, Livebox, etc.), mauvaise nouvelle : dans 90% des cas, tu peux pas installer de VPN dessus directement.* Faut soit la remplacer par un routeur compatible VPN (genre Asus, Netgear, TP-Link…), soit ajouter un routeur secondaire derrière. C’est ce que j’ai fait perso : un petit Asus RT-AX58U, et roule ma poule.

Étape 1 : choisir un bon VPN

Avant de foncer, choisis bien ton fournisseur VPN. Tous ne sont pas compatibles avec les routeurs, donc vérifie ça en premier. Quelques-uns que j’ai testés et qui passent bien : ExpressVPN, NordVPN, Surfshark. Ils ont des guides clairs pour les config routeur, ça aide.

Petit conseil : évite les VPN gratuits pour ça. Déjà, ils sont rarement compatibles, et en plus niveau perfs et vie privée… c’est pas ouf.

Étape 2 : accéder à l’interface de ton routeur

Ouvre ton navigateur et tape l’adresse de ton routeur (souvent 192.168.1.1 ou 192.168.0.1). Tu devrais tomber sur une page de connexion. Si tu l’as jamais modifié, le mot de passe par défaut est écrit sous le routeur. Change-le si ce n’est pas déjà fait. Sérieusement.

Ensuite, va dans la section “VPN” ou “WAN” selon le modèle. Là, ça dépend des marques, mais globalement tu devrais avoir une option pour ajouter une config OpenVPN ou L2TP.

Étape 3 : importer la config VPN

Ton fournisseur VPN te donne des fichiers de config (souvent un .ovpn pour OpenVPN). Télécharge celui qui correspond à la localisation de ton choix (Paris, Amsterdam, Tokyo… à toi de voir).

Ensuite, importe ce fichier dans l’interface du routeur, rentre ton identifiant VPN, valide, et redémarre le routeur. Si tout se passe bien, boum : ton réseau entier passe par le VPN.

Étape 4 : tester si ça marche

Facile : va sur un site comme whatismyip.com et regarde si l’IP affichée est celle du serveur VPN. Si oui, c’est bon. T’es protégé. Si non… reviens à l’étape 2, y’a sûrement un petit truc qui a coincé.

Tu peux aussi couper ton appli VPN sur le PC et voir si t’as toujours une IP masquée. Si oui, le routeur fait bien son taf.

Les petits pièges à éviter

Attention à la vitesse. Tous les routeurs gèrent pas bien le chiffrement VPN. Certains vont ramer sévère, surtout en Wi-Fi. Vérifie que le tien est assez costaud côté CPU.
Netflix et compagnie ? Certains services bloquent les IP des VPN. Résultat : plus possible de regarder Stranger Things tranquillou. Certains VPN contournent ça, mais pas tous.
Double VPN sans le vouloir. Si ton PC lance aussi le VPN, ça fait doublon et peut ralentir. Choisis l’un ou l’autre.

Conclusion : bonne idée, mais pas pour tout le monde

Installer un VPN sur son routeur, c’est un peu comme passer en cuisine au gaz : faut un petit temps d’adaptation, mais une fois que t’y as goûté, difficile de revenir en arrière. Si t’aimes bidouiller un peu et que tu veux un réseau propre, sécurisé, sans prise de tête au quotidien… c’est franchement une solution au top.

Mais si t’es pas à l’aise avec les interfaces techniques ou que t’as pas un routeur compatible, ça peut vite devenir prise de tête. À toi de voir. En tout cas, maintenant, tu sais comment faire.

Tu te lances ? Ou t’as encore des questions ?

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